Logo Jelodanti Records - Pochoir Left Hand

Presse

  • Mountains Of Night-David Fenech

    “... "Le rendu est très cinématographique. Les éléments s'étoffent, les plages s'allongent, on pourra aussi parfois penser à du WYATT dans ces chants délicats loin des coqs vociférants aux voix musclées de catadioptres envahissants. J'ai aussi beaucoup pensé à ces musiciens talentueux du genre KLIMPEREI / Pierre BASTIEN qui s'amusent avec tous leurs instruments bricolés qui aiment brouiller les pistes, de la pop éclopée à l'indus avant gardiste d'un NURSE WITH WOUND. Les influences sont multiples, vraiment, j'y entends Andy MOOR lorsqu'il joue avec Yannis KYRIAKIDES, du Morton FELDMAN sur le piano pesant. Oui, l'expérimentation est au cœur de sa pratique, allez juste parcourir le blog de David FENECH (cf ci dessous) et ses nombreuses découvertes pour vous en rendre compte. La guitare est toujours présente, elle berce le disque, c'est un moment de vie proposé, plutôt en mode calme et très réfléchi, les scènes apparaissent puis disparaissent, moi je m'y suis bien emmitouflé et je regarde rêveur passer le temps les yeux dans les étoiles et sentir la ville inquiète s'écorcher les lèvres dans des brouillards tordus et inquiétants." ”

    Valery John Klebar

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    www.stnt.org

    “... Zagadałem się, a Moutains of Night trwa dalej serwując nam zacierające się synkopy w glitchowym ezoterycznym sosie. Zanikając zacierają wspomnienia, budząc nas w ostatniej osłonie Rocheuse, powolnym, roznegliżowanym świecie nad strumieniem. Punktujące pianino z wciśniętym pedałem delay w środku rozległej natury w niepewności o nadchodzące jutro. Szczerze polecam i słucham dalej, bo jeszcze drugie tyle zostało do odkrycia, niż napisałem. ”

    Marek “Lokis” Nawrot

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    ANXIOUS Musick Magazine

  • Miss Marvel-MISS MARVEL

    “... Un trio au son abrasif et radical que l’on rapprochera volontiers de Sister Iodine, Deity Guns, Heliogabale ou encore Garbage Collector et de toute une frange de groupes qui, dès l’agonie des ’80s/le début des ’90s en France, participèrent à l’éclosion d’un style de musique, d’un son, d’un souffle et d’un esprit qui irriguent encore largement pas mal de disques sortant ici et aujourd’hui. ”

    Léo Luce

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    Indie Rock Mag

    “... L’attente a été longue, mais le moment est enfin venu de plonger dans l’univers sonore unique de Miss Marvel. Le groupe a su marquer son époque et a influencé de nombreux artistes par la suite. Cet album tant attendu est une occasion pour les fans de découvrir ou redécouvrir leur musique et de se replonger dans cette période riche en créativité et en expérimentation. ”

    Jean-Luc

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    MAZIK

    “... "Trente ans après, Miss Marvel revient enfin pour botter le cul du post-punk". "Bref, Miss Marvel est à cette micro-frange de la scène alternative française ce qu’Eraserhead est à la carrière de David Lynch : un objet brut, violent et surtout, pour les curieux, le sésame qui permettrait de (presque) tout assembler." ”

    Paul Labourie

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    Gonzaï

    “... L'esprit de MISS MARVEL est tiraillé entre la No Wave de la côte Est et le grunge à carreau de la côte Ouest des Etats Unis. Après deux démos sorties sur cassette et un album auto-produit jamais paru, l’aventure s’arrête laissant les deux piliers prendre en main leur destin avant qu'il ne soit trop tard. Ils créent leur studio et embauchent un nouveau batteur pour lancer ULAN BATOR dont le succès plus tard dépassera les frontières françaises. ”

    Valery John Klebar

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    STNT

    “... Ça reste majoritairement instrumental, furieusement spontané, sauvage et déglingué, n’hésitant pas à pousser le vice de leur foutoir juvénile au-delà des sept minutes quasi psychédéliques sur le titre ayant le même nom que le groupe avant de tout ravager sur pratiquement la même durée lors d’un ultime titre n’ayant ni queue ni tête en plus de ne pas avoir de nom, incarnant un baroud d’honneur parfait avant extinction définitive des lumières. Et qui retrouve miraculeusement un nouvel éclat trente ans plus tard. ”

    Xavier Sonik

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    Perte & Fracas

  • 1981 - 87 Vol 1-DEK

    “...

    Pendant que Depeche Mode et The Cure écumaient les ondes, il se passait quand même d'autres trucs dans les années 1980. Dans le sud de la France notamment, ça faisait des châteaux de cendre avec un punk déjà vieillissant et un post-punk trop lissé pour certains esprits.

    André Dekeyser, son frangin Patrick Dekeyser et Vincent Epplay forment DEK. Le trio a tellement marqué son époque que quand vous tapez les noms sur un moteur de recherche, on tombe d'abord sur une charcuterie puis des avis de décès. Pourtant, sur des coins de table et enregistrés par un Revox, DEK joue, crée du collectif, et commence à balancer des sessions de jam en cassette, le tout en auto-production.

    Aujourd'hui, ces cassettes sont quasiment introuvables, mais ne vous inquiétez pas, la folie de la réédition a permis à Jelodanti Records de rassembler les meilleurs moments de ces sessions dans un DEK 1981-87 (Vol.1). Ca sortira en vinyle le 23/04, et le teaser en dit long sur ce que vous allez comprendre - ou pas - à cette folie punk/free jazz qui a bruyamment existé sans que personne l'entende.

    Émile : Goute mes disques

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    Goute mes disques

    “... Au tout début, je n’y ai rien compris. Ensuite, j’ai continué à n’y rien comprendre. Et aujourd’hui, je continue à ne pas comprendre grand chose mais dans l’intervalle, un truc étrange s’est passé. Je ne sais trop comment ni pourquoi, ces proto-morceaux et ersatz se sont ruban-adhésivés à mes neurones. ”

    Léo Luce

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    Des Cendres à la Cave

    “... Les DEK font de la poésie. Et c'est l'attitude punk distingo et cet humour fin qui m'ont fait vaciller. Le grand méchant loup est tout gentil en français mais devient un gros méchant hurlEUR punk en allemand. Achhhh j'en ai encore les larmes aux yeux. Ces petites comptines aussi, "je fume ma dernière pall mall affrontant mes souvenirs", mixant Boris VIAN et les RESIDENTS, avec un coup de nostalgie année 80 digne d'un journal sur FR3 après THALASSA. "L'ennui à Nice". ”

    Valery John Klebar

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    STNT

    “... Jelodanti Records offre un vrai document à l’histoire française des musiques audacieuses. En acceptant de mettre la lumière sur une communauté artistique qui n’a peut-être pas eu tant d’héritage (et encore, c’est à prouver), le premier volume de cette anthologie DEK donne tout simplement envie d’échapper à l’actualité et au fil de l’histoire pour se concentrer sur ce que c’est que de créer à plusieurs. ”

    Émile goûte mes disques

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    Goute mes Disques

    “... DEK est le trio formé par André Dekeyser, Patrick Dekeyser et Vincent Epplay dans les années 80. Ils avaient sorti quelques cassettes et je ne connaissais pas cette musique, jusqu’à cette récente réédition en vinyle par le label Jelodanti. C’est brut de fonderie, enregistré avec des moyens rudimentaires, mais le son a été retravaillé et sonne vraiment frais. Musicalement, on peut penser à une rencontre entre des groupes allemands du début des années 80 et l’esprit de groupes indés américains comme les Blitzoids, Caroliner Rainbow ou les Residents. C’est vraiment très réussi ! ”

    David Fenech

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    David F Presents

  • Funeral Album / The greatest Hits-GÄNGSTGÄNG

    “...

    "Bon débarras ! La meilleure nouvelle de ce début d’année musicale est sans doute la disparition/séparation du plus grand groupe franco-suisse de punks sans chiens de tous les temps."
    "Ce qu’on nous vend sur la pochette comme du « rap primitif jurassien » n’est en fait qu’un ramassis d’insanités subversives, mal chantées et crachées dans un esprit d’insolence et une absence de musicalité qui n’a sans doute jamais eu d’équivalent en langue française."
    "Les messages de Gängstgäng sont affreux et dissimulent souvent des vérités politiques et sociales sous des tours poétiques qui amusent, surprennent et flatteront les feignasses, les marginaux et les asociaux."
    "Le best-of laisse à peine passer la lumière. Il faut se lever de bonne heure pour trouver une trace d’espoir et une signe d’amour."
    "Gängstgäng laisse dans son sillage un message pour les générations futures, la prédiction d’une nouvelle ère punk à venir, encore plus tragique et dégueulasse, plus violente et moins drôle que celles du passé."
    Benjamin Berton / SUN BURNS OUT

    Benjamin Berton

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    Sun Burns Out

  • ¿ KIERES AGUA ?-ROSE MERCIE

    “... "Les parisiennes continuent de nous enivrer avec leur subtil mélange entre post-punk et indie pop lo-fi qui fait son effet sur ces neuf compositions calibrées et instantanées. Prônant le féminisme pouvant être également signe de catharsis sur des titres placés sous le signe de l’improvisation avec notamment l’introduction nommée « Un château » plantant le décor et montrant l’alchimie indéniable également sur « Regresar » et « Dinosaur », Rose Mercie retient toute notre attention avec cet univers DIY si attrayant."

    Inconnu

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    Les Oreilles Curieuses

    “... "Un petit dinosaure vu à une soirée s’invite dans notre conversation, la pop zigzague, les filles jouent les funambules, l’amour en toile de fond. De bout en bout cet album se veut plus doux, sans pour autant devenir lisse. Au contraire, ces quatre activistes parisiennes (responsables de Doxa Esta) gardent le danger à portée de main, jouant avec, sans peur de l’instabilité." ”

    Mathieu

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    Positive Rage

    “... "Découvert en 2018 par l’entremise d’un premier album qui s’offrait le tour de force de citer les Slits, Broadcast et Lizzy Mercier Descloux dans un registre indie-punk aussi réjouissant qu’inespéré, le quartet Rose Mercie sillonne les routes de Montreuil à Mexico depuis près de dix ans maintenant. Fomenté par quatre copines évoluant dans le magma de l’underground parisien, le groupe annonce son retour le 4 mai prochain, avec un deuxième album intitulé ¿Kieres Agua?." 

    François Moreau

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    Les Inrocks

    “... "The four members of the band are cast as witches circling a ritualistic pyre on the LP’s cover (one of the oldest and strongest archetypes of sisterhood), and it’s echoed over the motorik, polyrhythmic percussive clatter of closing track “Witching,” with a Spanish incantation that roughly translates to “Loving us / Looking for us / Taking care of us / Between good and evil”—a testament in sound to the bonds of female friendship; a document of four women making music with each other, but more importantly, for each other." ”

    Erika Elizabeth

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    Maximum Rock and Roll

    “... "Well, here we are a few years later and the band have Kieres Agua on wait, and I’ve got this brilliant opening piece here to entice your ears. This track would fit well on a Mexican Summer roster, slowly building over these desert-like guitar riffs, with little adventurous noodles playfully contrasting the sedate nature at the forefront. It’s a bewitching opener from their next LP, which looks to be out at the end of May via Celluloid Lunch and Jelodanti, so here’s to hoping more folks fall for it." ”

    Nathan Lankford

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    Austin Town Hall

    “... “As we composed the songs for our new album, the image of a young, contemporary, yet ageless woman was conjured; a woman who left, who disappeared, got lost and then found more than ever before. We imagine this record as the journey of this woman, whom we will sometimes try to find, to guess through the clues, who seems to have gone very far from home, who no longer knows where her place is, who is changing and who is evolving. We grow stronger with her, we run, we laugh and we dance and then we sit in the sun, we let our skin warm, we realize that we are totally in the present, and that around us there are only girls, sisters, our friends, and that no one can ever lock us up.”

    Inconnu

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    Also Cool

    “... "¿ KIERES AGUA ?, c’est d’abord de l’incantatoire. Le morceau le plus représentatif de cet élan hypnotique étant sans doute le génial Regresar qui apparaît en deuxième position : il tournicote mais jamais droit, il y a une forme d’étrangeté très prenante dans le parterre rythmique et dans les voix, superbes, scandées, d’abord esseulées puis collectives. On dirait du Rakta combiné au Morbido de The Dreams sans le post-punk des premières ni le reggae des seconds (quoique) mais avec exactement la même déviance. Un titre qui, à lui seul, illustre la pochette. On retrouve cet aspect presque… sacré ? dans plusieurs autres morceaux où l’agencement des voix le dispute à une ossature très aventureuse." ”

    leoluce

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    Des Cendres à La Cave

    “... "ROSE MERCIE, formation de quatre musiciennes et amies de longue date, vient de publier son deuxième album, ¿ Kieres Agua ?. Sa pochette est de celle que l’on remarque : Inès Di Folco, Louann Djian, Charlotte Kouklia et Michèle Santoyo y apparaissent entièrement nues, évoquant les esprits, dansant au milieu de flammes semblant parfois sortir de leurs corps et les entourant d’une aura mystérieuse et protectrice (peut-être) mais surtout d’une force sûre d’elle-même. On ne voit jamais de pochettes de disque aussi revendicatrices que celle-ci et qui n’ont pas recours non plus à la brutalité, la violence ou l’agression. Une pochette qui nous dit simplement « le feu c’est nous, il est en nous, autour de nous et avec nous » pour un disque qui, avec beaucoup d’humour, nous demande également si on a besoin d’eau pour éventuellement éteindre l’incendie de notre indignation (¿ Kieres Agua ? ou plutôt « ¿ quieres agua ? » se traduisant par « est-ce que tu veux de l’eau » ?). Si tu as trop chaud en regardant ces joyeuses sorcières modernes en plein sabbat musical c’est donc, encore une fois, ton problème et effectivement tu as grandement besoin de te rafraichir les idées, ton mental dominateur et tout le reste." ”

    Hazam Modoff

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    Instant Bullshit

  • PARAGRAPHS AND PRINCIPLES - a tribute to Cornelius Cardew-Officer!

    “... ”

    “... Officer! démystifie la musique, mettant dos à dos folklore et expérimentations, pop et électroacoustique, donnant vie à un opus multicolore aux titres basculant d’une rive à une autre, saisissant chaque instant pour nous plonger dans des espaces bousculés de l’intérieur. Le noir éclate au contact de mélodies fusillées sur des murs d’avant-gardisme tonitruant, portées par des musiciens voltigeurs, malaxant des matériaux friables projetés sur des enceintes volatiles. Chaque titre est un espace et chaque espace est l’occasion de tester la vulnérabilité du temps, empruntant à l’effritement des heures, des minutes et des secondes, sa capacité à absorber l’histoire et ses traditions, revues, digérées et corrigées. Très fortement recommandé. ”

    Roland Torres

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    Focus Musique

    “... Pour leur album intitulé « Paragraphs and Principles », Officer ! est composé de Mick Hobbs, Felix Fiedorowicz et Bill Gilonis, ainsi que d’un étonnant groupe de 30 interprètes originaires de 8 pays. C’est un bel hommage à Cornelius Cardew. L’album est un petit bijou, sorti en CD chez KlangGalerie et en LP chez Jelodanti. Officer a enregistré ce morceau avec des membres du groupe Look De Bouk. C’est superbe. ”

    David Fenech

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    David F Presents

    “... I’m very excited to talk about your new album which was recently released by Jelodanti Records. ‘Paragraphs And Principles’ might be one of the most ambitious albums yet. How long did you work on it? Bill Gilonis: Mick Hobbs told me about the project around May 2019 and asked if I’d like to play some clarinet on ‘Albania’. I suggested to Felix Fiedorowicz that he arrange that track for my Zürich band ‘Blasnost’, which he did. From then on Felix, Mick and I were ping-ponging audio files back and forth between Ithaca, London and Zürich. I played a lot of clarinet, recruited and recorded musicians and – later on – dealt with administrative tasks such as funding applications, making payments, et cetera. The final mixing session was on 15. 6. 2021 and the CD came out about 6 months after that. So I was involved for well over two years. ”

    Klemen Breznikar

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    It's Psychedelic Baby Magazine

    “... "Cornelius Cardew einen Radikalen zu nennen, greift noch zu kurz. Deshalb liefert sein Schaffen auch über vier Jahrzehnte nach seinem Tod weiterhin Inspiration für zahlreiche neue Projekte. Das Album »Paragraphs and Principles« der Gruppe OFFICER! um Mick Hobbs versammelt einige Neuinterpretationen von Cardews Werken, stellt ihnen aber auch neue Musik daneben, die in seinem Geiste komponiert wurde. Synth-Pop und Rockmusik, elektroakustische Experimente und Bigband-Stücke finden zu einem irrsinnigen Potpourri zueinander." ”

    Inconnu

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    Field Notes

    “... Officer! Ist das Pseudonym des britischen Multiinstrumentalisten und Komponisten Mick Hobbs, unter dem er seit 1983 Musik macht und veröffentlicht. Auf seiner Reise hat er mit unzähligen Musikern zusammengearbeitet und legt mit “Paragraphs and Principles” das inzwischen achte Album vor. Das klingt nach nicht so viel, jedoch arbeitet Hobbs auch noch an anderen Projekten mit und seine Alben als Officer! sind sehr aufwändig. ”

    Wolfgang Kabsch

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    Hand Written Mag

  • Princess Barely Legal-ADOLF HIBOU

    “... Attention : concept ! Lequel concept est dument explicité à l’intérieur du mini livret accompagnant le CD qui sert d’écrin à ce petit chef d’œuvre de grand n’importe quoi qu’est Princess Barely Legal. Je recopie faute de mieux et, surtout, faute d’y comprendre quoi que ce soit : « Premier album d’Adolf Hibou à la croisée des mondes. Ça parle de trucs qui s’emmêlent dans la tête quand on ferme les yeux lorsqu’on a beaucoup de fièvre et aussi de chevaux ailés qui se rassemblent autour d’une vibration commune qui irradie vers un entropique et infini espace où sont délaissées les viles perfidies des hommes pour caresser, les yeux à demi-clos, le torse des olympiens ». ”

    Hazam

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    Instant Bullshit

    “... "Pris au premier degré, voilà qui ressemble fort à un aller-simple sous trip lsd / peyotl / psilos par une bande de hippies bozardeux adeptes du poly-amour gay avec des poneys magiques. Au second et au troisième degrés, aussi. Jusqu’à ce que l’on se décide à vraiment écouter – parce qu’après tout, on a aussi le droit d’avoir un peu peur – ce premier album d’ADOLF HIBOU, fringant trio de Montpellier composé de Princesse Rapide (chant), Bébé Dragon (guitare) et Balboa Manioc (batterie). Et autant prévenir tout de suite : Princess Barely Legal n’est pas, malgré la présence d’une vraie-fausse reprise de Hugues Aufray, un disque de babloches salement illuminés mais plutôt un gros tas de machins grind-punk à tiroirs et autres multi-formes ectoplasmiques à caractère psycho-déviant." ”

    Hazam Modoff

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    Instant Bullshit

    “... "Comme le vinaigre pour les frites ou les oignons frits dans les pommes, rien ne semble acceptable au premier abord et à la première écoute de ce gros disque ! Trop noise pour être vraiment n'importe quoi. Trop n'importe quoi pour être déguster sans aigreurs. Trop . La seule certitude, c'est que votre dimanche misérable, prend des couleurs et de la vigueur. Le décollement de rétines provoque des sillons rougeoyant dans les yeux déjà meurtris à la lecture des titres. Et si le Padre essaye, tant bien que mal, d'identifier les riffs, la bave à la commissure des lèvres l'empêchent de dire un mot. Rarement, il a vu sa femme et ses filles se déhancher de la sorte et rire à gorge déployé. Il aurait bien envie de laisser la marmaille et d'emmener sa femme, si désirable ; mais il a une soudaine envie de chier." ”

    Eric D-Toorop

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    Core and Co

  • Primitive rap and shamanic dirty sabotage from swiss Jura-GÄNGSTGÄNG

    “... Il y a dans cette musique un rapport au réel tout à fait particulier qui donne à voir la chair du monde telle qu’elle se présente à nos yeux tous les jours : un peu moche, et un peu sale, grasse et flasque comme un conflit d’intérêt. Les hommes qu’il décrit dans ses textes sont des personnages de tous les jours mus par des passions simples comme la cupidité, la peur ou le besoin d’amour (et de sexe). Il y a une forme de dureté dans les approches que souligne la rythmique et qui fait l’originalité de cette musique. Sur les Poubelles, la frontalité de la livraison, son caractère étouffé se transforment en une poésie triste qui émeut en même temps qu’elle met le doigt sur l’obsession de Rebetez pour les déchets, les débris qu’il considère comme une extension (une miroir et parfois un double) de ce que nous sommes. ”

    Benjamin Berton

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    SUN Burns out

    “... ...la teneur addictive, une fois maîtrisée, de ce Primitive rap and shamanic dirty sabotage from swiss Jura aussi urbain que montagnard, aussi intense que minimal, dans ce qu’il renvoie. Excellente cuvée donc, d’une liqueur du Jura Suisse à ne pas mettre dans tous les godets. En tant que convertis au son qui diffère, nous tendons avidement le notre, désireux d’avaler une énième goulée de l’élixir concocté par les deux hommes aux écarts géniaux-tarés. ”

    Will Dum

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    Muzzart.fr

    “... "L’ambiance générale est au ciel de traîne, à la pluie un jour de crue, à l’eau lourde et aux cendres de mazout. En recouvrant ce qu’elle rencontre à la sortie des enceintes d’une mince pellicule poussiéreuse, elle a des airs de morgue et d’abandon. La poésie y pousse comme une fleur au milieu du bitume : elle n’a rien à faire là mais on ne voit qu’elle. Encore une fois, c’est souvent saisissant et quand on lance le disque, impossible de faire quoi que ce soit d’autre que l’écouter au risque d’en perdre des miettes. Chez GÄNGSTGÄNG, les miettes et les bribes, c’est important." ”

    Leo Luce

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    Des Cendres à la cave

    “... "On “Livraison de rapaces,” Rebetez combines mumbled incantation and acerbic delivery to cast a dark spell. Meanwhile, hypnotic drum and bell add a ritual-like quality as the duo summons their other-worldly forces. The video for the track finds the pair in an abandoned cinder block building. Animated by the track’s haunting rhythm and anxious delivery, their bodies seem to twitch and flail under this track’s urgent spell." ”

    Black Box Bob

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    Live Eye Tv

    “... ...il y a des beats qui sortent d’une grotte, des crissements qui empoignent l’échine, des bouts de mélodies qui s’emboîtent comme on tombe dans un ossuaire. C’est peut-être un sabotage, mais il est parfaitement réussi; ça consume. C’est une part maudite. Et puis il y a ces textes: un mélange très abouti de surréalisme, d’humour noir, de concassage de la langue et de jeux de mots. ”

    Philippe Simon

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    Le Temps

    “... Les textes sont tantôt incisifs, tantôt cyniques, désabusés, tantôt tristes, mais toujours teintés d’une solide dose d’humour et de dérision, voir d’autodérision. De leurs cotés les prods elles non plus ne manquent pas d’inventivité. Le tout fonctionne admirablement et particulièrement les morceaux « Livraison de Rapaces, Juste ça ou Crasse Crasse », bien que, à mon sens, ce genre de projets soient fait pour être savourés en mode album ! ”

    Rskp Neuroskp

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    Panik Magazine

    “... Phalange suisse constituée d’Augustin Rebetez et Pascal Lopinat, le duo Gängstgäng a signé chez Jelodanti Records le disque le plus dérangeant, éblouissant et dévastateur pour l’ordre établi et la société 4.0 qu’on appelle dans les think tanks post-blayristes et néo-macroniens de cette année 2021. Avec leur électro-trash-hip-hop-punkachien-chanson française, les Suisses ont remis le réel, crade et gras, noble et déchiré, au premier plan, en même temps qu’ils tendaient un miroir déformant au monde déjà pas beau à voir sous son masque de fer/feutre. Écolos, anti-fachos, nobles et résistants, les deux hommes ont plus l’habitude de jouer dans des garages que dans les Zénith. Ce n’est pas pour autant que leur musique ne doit pas être écoutée d’urgence, quitte à ce qu’elle fasse grincer les oreilles. ”

    Benjamin Berton

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    Sun Burn Out

    “... Phalange suisse constituée d’Augustin Rebetez et Pascal Lopinat, le duo Gängstgäng a signé chez Jelodanti Records le disque le plus dérangeant, éblouissant et dévastateur pour l’ordre établi et la société 4.0 qu’on appelle dans les think tanks post-blayristes et néo-macroniens de cette année 2021. Avec leur électro-trash-hip-hop-punkachien-chanson française, les Suisses ont remis le réel, crade et gras, noble et déchiré, au premier plan, en même temps qu’ils tendaient un miroir déformant au monde déjà pas beau à voir sous son masque de fer/feutre. Écolos, anti-fachos, nobles et résistants, les deux hommes ont plus l’habitude de jouer dans des garages que dans les Zénith. Ce n’est pas pour autant que leur musique ne doit pas être écoutée d’urgence, quitte à ce qu’elle fasse grincer les oreilles. ”

    Benjamin Berton

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    SUN BURNS OUT

    “... "Die beiden Schweizer sind vor egal welchem Publikum ungewöhnlich: HipHop erwartet Rapper:innen, die die punktgenauen, weil vorprogrammierten Beats von jemandem am Laptop serviert bekommen. Rock erwartet diese Form des abgehackten, hakenschlagenden, extrem rhythmisierten Gesangs einfach nicht. Die Musik vermittelt den Eindruck, dass die Musiker angespannt zwischen den Stühlen sitzen – aber wachsam und angriffsbereit, mit vollkommen schräger Musik bewaffnet." ”

    Henrik Beeke

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    OX Fanzine

  • Iron Pourpre-A SHAPE

    “... ..."Si A Shape est brut, il est aussi contemplatif. Ses ruades balayent tout sur leur passage, son équilibre sur un fil entre rudesse bien…rude et susurrations assied sa personnalité. Echoes, de guitares batailleuses qui laissent des traces en vocaux à la lisière du sensuel, en couple avec une rythmique capable d’investir tous les terrains, confirme. Saperlipopette, j’en perdrais ma salopette (ne me demandez pas ce que l’expression vient faire ici, il semblerait toutefois qu’elle traduise une certaine forme de bonheur auditif). ”

    Will Dum

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    Muzzart

    “... ..."Très disloqué, la musique d’A Shape (et les titres qui la délimitent) donne souvent l’impression d’avoir été brisée en mille morceaux puis réassemblée sans mode d’emploi : la voix peut être déclamatoire et s’appuyer sur un parterre rythmique distordu alors que la guitare avance droit devant (l’époustouflantCrave), la basse peut aussi se montrer indéboulonnable et laisser guitare, batterie et saxophone (le soprano et l’alto de Quentin Rollet intervenant sur deux titres) se fracasser les uns contre les autres (le merveilleux Lungs) et ainsi de suite. Le morceaux prennent souvent par surprise en allant exactement là où l’on ne pouvait pas penser qu’ils iraient et on se retrouve très vite égaré dans le disque. C’est bien ça qui accroche énormément : Iron Pourpre est tout le temps inattendu tout en restant parfaitement prenant. ”

    Léo Luce

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    Des cendres à la cave

    “... Usually people say that noise rock is nonsense. Me when i play like this, it never sounds as much structured and elaborated as noise rock, because noise rock is an organized chaos. What can happen when you mix a bit of Heliogabale (Sasha Andres), a bit of noise and some young wolves with sharp teeth then you have A Shape with our new album Iron Pourpre. Nothing better to derail the machine than to be surrounded by Antoine Cocquelet & A Shape for the mix, and the mastering by Nicolas Dick (Kill The Thill). So, our band plays noise rock. Simple as that. – A Shape ”

    Karol Kamiński

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    Idioteq

    “... ”

    Anonyme

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    Front view Magazine

    “... ”

    Anomyme

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    Creative Eclipse PR

    “... ..."Foisonnement sonique, dissonances coupantes, un son comme une forêt dense et grouillante, A Shape avance à l’unisson. Chaque instrument grignote l’espace sans déborder sur celui du voisin, créant cette impression permanente d’être envelopper dans une marée ondulante et bouillonnante de décibels provoquant de multiples tragédies. Un enchevêtrement, des éclairs qui traversent un amas ne manquant pas de clarté, des fractures, de la violence contenue ou qui éclate pour laisser des lambeaux de tourment et des frissons de désolation, Iron Pourpre travaille au corps et ébranle les neurones."... ”

    Xavier Sonik

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    Perte & Fracas

    “... "« Iron Pourpre » brûle de partout sans véritablement se consumer, sa matière semblant insensible aux flemmes, même les plus dévorantes. En direct d’un cubilot sonique." ”

    Anonyme

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    À découvrir absolument

    “... "Away we go with the mind-blowing “Black Mamba”. Yes it’s noise. Clanking guitars, heavy percussion and a wall of noise blow across the scene. The vocalist sounds like he’s disturbed – know the feeling, mate – and it all adds up to psychological torture … and intriguing music." ”

    Andrew Doherty

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    Ave Noctum

    “... "Affirmons-le tout de suite : Iron Pourpre fait partie de ces disques difficiles mais qui ne vous lâchent pas. Soit on rejette immédiatement cette musique magmatique, intense, viscérale et exigeante, soit on se fait attraper et on rentre complètement dedans pour ne plus en sortir. Avec A SHAPE c’est donc du tout ou rien. Et plus de trois ans après un Inlands captivant bien qu’un chouïa trop désordonné, le groupe est enfin de retour. Et quel retour !" ”

    HAZAM

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    Instant Bullshit

    “...

    "Iron purple" en ressort comme le choc d' un accident de circulation. Au loin, on voit les fumées, des liquides chauds s'écoulent des moteurs qui tournent encore, chevrotent, quelques pièces de métal rougeoient toujours sur le sol humide. Le froid et là, le temps est pluvieux et les 4 rescapés au bord de la route saignent et frottent leurs contusions cachées dans leurs manteaux noirs.
    Ils restent dignes le regard au loin, le sourire aux lèvres.

    Eric D-Toorop

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    Core & Co

    “... Op dit tweede album, “Iron Pourpre” (10 tracks, 45 minuten), horen we van openingstrack "Black Mamba" tot slottrack "Trans" erg hoekige postpunk door de boxen schallen. Ja, noiserock is altijd wat georchestreerde chaos, maar evengoed horen we beklijvende riffs zoals je die ook wel eens tegenkomt bij – jawel - een band als Sonic Youth. ”

    Henk Vereecken

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    Darkentries.be

    “... Ein perfekter Soundtrack, um an einem Freitag Abend mit sich selbst gemeinsam zu eskalieren und die Bude zu zerlegen und sich in einem Konfettisturm aus Fragezeichen wieder zu finden. 

    Anne Katrin

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    Vinyl Keks.eu

    “... En fait, quand on se plonge pour la première fois dans l’univers de A Shape, on ne sait pas trop à quoi s’attendre. On peut même être rebuté, repoussé par les expérimentations riches et variées du groupe, freiné par ce son qui sature et cette ambiance générale sombre et poisseuse. Mais quand on va plus loin, on voit un travail audacieux et efficace sur les ambiances, un noise rock barré aux guitares acérées, un son qui se veut parfois très noise, d’autres fois plus indus, et la voix de Sasha change aussi au gré de la musique. ”

    Fabulous

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    Aux portes du Metal

  • Moonsongs-Thinking Plague

    “... C’est le micro-label franco-suisse Jelodanti, déjà responsable de fort belles rééditions d’albums de THE WORK, ULAN BATOR, GOZ OF KERMEUR ou encore Jean-Louis COSTES, qui a pris cette initiative. Moonsongs sera édité à 300 exemplaires avec une nouvelle illustration et une pochette ouvrante, le tout réalisé à la main. On y trouvera notamment la composition Moonsongs dans son mixage original de 1986 qui figurait dans Early Plague Years (et non le remix inclus en bonus de l’album In This Life sur ReR Megacorp). ”

    Anonyme

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    Rythmes Croisés Webzine

    “... Le 1er octobre 2020,  le label Jelodanti Records rééditera l'album Moonsongs de THINKING PLAGUEL'album sera édité à 300 exemplaires avec pochette ouvrante et réalisé à la main. On trouvera le titre "Moonsongs" avec le mix original de 86 et qui figurait sur la réédition CD des deux premiers albums parus surCuneiform. ”

    Pascal J

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    Music Wave

    “... Le titre phare dure 15 minutes et mêle , freejazz, tribal… bref, une véritable explosion de sonorités qui ravissent les fans du genre, mais peut aussi conquérir des oreilles plus novices. On salue donc cette réédition, d’autant plus que Jelodanti travaille aussi de manière artisanal, l’album, publié à 300 exemplaires, aura une nouvelle illustration et une couverture gatefold, avec des tampons fait à l’acrylique. ”

    Lucas Parax

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    Disques Obscurs

    “... Riappare per ottima iniziativa di Jelodanti Records lo storico album Moonsongs(1986) dei Thinking Plague, in precedenza già presentato da Cuneiform all'interno di un doppio cd (Early Plague Years, del 2000) che tra le altre cose aveva il grande merito di recuperare anche il titolo d'esordio del gruppo (... A Thinking Plague), altrimenti di difficile o nulla reperibilità. L'edizione è limitata a trecento copie in vinile, nella veste punk-artigianale tipica della piccola etichetta parigina. ”

    Sergio Amadori

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    Hibou, Anemone & Bear

    “... Jelodanti Records recently reissued their highly regarded 1986 album ‘Moonsongs’. Their music has always been difficult to describe. They are exploring the frontiers of rock, folk, jazz and modern symphonic music. Their influences span a spectrum from the Beatles and the Byrds to Henry Cow and William Schuman. ”

    Klemen Breznikar

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    It's Psychedelic Baby Magazine

  • With Love, Jelodanti.-Compilation

    “... The Brian Turner Show / Order and disorder, a freeform haze of garbage guitars, shorted electronics, found detritus, collage, linear songs, sounds from strange lands. "WITH LOVE, JELODANTI"- Besoin Dead - French Disko // sTs (Petra Pied de Biche & Gros Colon) - Super Torpille Sublétale // Arrington de Dionyso - Lathecut Halilintar original first pass // on the playlist // with love to Simon Edwards Leek. ”

    Simon Edwards Leek

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    Loose Canon

    “... While his track “La limace” definitely sets the stage for this collection, ultimately it is the desire to do things differently and to seek the most authentic form of expression that the label does best. Here, that might be most clearly expressed lyrically on the tracks “Usually” by Philippe Petit & Black Sifichi, as well as Darling‘s raucous celebration of all things libertine, “Perfection.” The former is anything but ordinary as a helium-laced voice explains: “That’s what I used to do usually, but I no longer do it usually.” As the phrase is worked over by the speaker its meaning begins to refract, and in convoluting, it expresses the very spirit of creative experiment at the heart of this compilation–while at the same time enacting it. ”

    Iggy Pot

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    Live Eye Tv

    “... The Brian Turner Show / Order and disorder, a freeform haze of garbage guitars, shorted electronics, found detritus, collage, linear songs, sounds from strange lands. "WITH LOVE, JELODANTI"- BESOIN DEAD // FRENCH DISKO // on the playlist. ”

    Brian Turner

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    The Brian Turner Show

    “... Two hours of new cutting-edge post-punk/ punk/ alternative/ experimental/ no wave/ darkwave/ shoegaze/ psychedelia/ dreampop/ quirky pop and other assorted slices of musical excellence, with two opening oldies - presented by Simon Edwards. With the title  "SIGMA" of MURPHY // ”

    Simon Edwards

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    Loose Canon

    “... ”

    Josh Kelly

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    Flat Circle Radio Hour

    “... Two hours of new cutting-edge post-punk/ punk/ alternative/ experimental/ no wave/ darkwave/ shoegaze/ psychedelia/ dreampop/ quirky pop and other assorted slices of musical excellence, with two opening oldies - presented by Simon Edwards. "WITH LOVE, JELODANTI" // Rose Mercie – Bonfire // Darling – Perfection //  Enfance Sauvage – Tour de braise // on the playlist // with love to Simon Edwards. ”

    Simon Edwards

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    Loose Canon

    “... playlist KFUEL du 21/05/ et retrouvez le titre "Broken" de A shape feat. Quentin Rollet, qui apparaît sur la compilation "With love, jelodanti" // Un grand merci à KFUEL et Don Lurie // ”

    Don Lurie

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    kfuel.org

    “... “...With Love, Jelodanti se révélant être une vraie mine d’or et surtout réussissant son pari de nous faire partager, quoi qu’il arrive et quels que soient nos goûts personnels en matière de musiques, toutes sortes d’incongruités et de bizarreries...” ”

    Hazam

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    Instant Bullshit

    “...

    On clôture cette Chronique du Microsillon en mode spéciale millésime (ou sélection) 2020, avec une œuvre vraiment incroyable, magnifique et surtout : complètement folle ! J’ai adoré ce double LP ! Alors effectivement, il ne s’agit pas à proprement parler d’une production électro, même s’il y en a un peu par-ci, par-là… À vrai dire, le Jelodanti 14 est très éclectique et d’ailleurs, tu pourras y trouver des morceaux en mode Trial, punk, Black Metal… tout autant qu’en mode Synthwave/Electro ! Pour en apprendre plus sur ce double-vinyle, regarde la vidéo ;-).

    Philippe, alias Klark D

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    Le discographe.fr

  • L'aventure Complète de George Gallamus-SEC

    “... Aventureux? Je veux mon n’veu, rien que l’intitulé de ce nouvel essai le laisse présager. Mais c’est le contenu, cinglé-cinglant, pas fait pour et par des glands, qui illustre le mieux la démarche, plurielle et “unissante”, du projet. ”

    Will Dum

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    Muzzart

    “... Comparing L'aventure complète de George Gallamus to Sec’s earlier efforts, it is obvious that the musicians have worked much harder to come up with this work of art. The music is not only well played but also recorded professionally. The vocals, often performed together by the two musicians, are exceptional too. Of course this is not a regular song based album and therefore might not be to everyone’s taste. It would be nice to have also an edited version without the narration between the song parts, but that’s certainly out of the question. Collectors should grab a copy of the double vinyl album and enjoy the album as much as they should the bonus tribute CD which was a nice and unexpected surprise. ”

    //

    Disagreement

    “... Issu de Colomiers, cité dortoir en périphérie toulousaine, le binôme basse-batterie SEC s’est toujours débrouillé tout seul. Une foi en l’idéologie do it yourself qui se manifeste dans l’action. Sans le moindre moyen financier, Jules et Xavier réussissent à déplacer des montagnes et jouent partout.. ”

    Polka B

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    Karton Zine

    “... Car SEC est incapable de se contenter de proposer des morceaux aux structures classiques, ici, elles sont complexes, fourmillent d’une myriade de détails et n’ont absolument aucune limite stylistique, aucun interdit artistique. Une pont de batterie de 4 minutes? C’est possible. Des choeurs style chants d’églises? C’est possible. Des samples de bruits de pas dans la forêt? C’est possible. Des passages éthérés à la Kusturica? C’est possible. ”

    Boris

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    Core and Co

    “... "L'aventure Complète de George Gallamus, ce n’est donc pas une simple succession de morceaux. C’est, comme son nom l’indique, une véritable aventure qui se vit de manière complète, une oeuvre monolithique, un chaos ordonné et logique dans sa folie." "SEC est incapable de se contenter de proposer des morceaux aux structures classiques, ici, elles sont complexes, fourmillent d’une myriade de détails et n’ont absolument aucune limite stylistique, aucun interdit artistique." ”

    Boris

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    Core and Co

    “... "L'Aventure Complète de George Gallamus has got to be one of the strangest albums I have ever heard."......"Recorded in a barn by Sec members Jules Ribis (bass) and Xavier Tabard (drums) with spoken French and at times French lyrics, I am at a loss to even understand their cited references. It certainly does not sound like a “punk fable” to me." ”

    Henry Schneider

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    Exposé.org

  • Le Corps du Triste-CHRUCH

    “... Welcome to the mysterious world of Chruch. A one-off project initiated by the Swiss artist Augustin Rebetezand drummer/multi-instrumentalist Pascal Lopinat, in collaboration with the Norwegian vocalist Ida Friisand sound artist/multi-instrumentalist Pia Achternkamp, the group is readying their Le Corps du Triste LP for release on October 1st via Jelodanti Records. Viewed as a singular effort by the collective, the label reports that Chruch will not be playing any live events for the release and that it doesn’t even view itself as a band. With these temporary parameters providing a nebulous structure for the participants, the quartet is free to explore very peculiar sonic territories. Minimalist in nature and often built around searing drones and proto-rhythmic structures, the real crux of these compositions involve the uncanny vocal contributions of Ida Friis and Augustin Rebetez. For instance, on “Aux couteaux” Friis’ sibylline delivery can be at once unnerving and strangely soothing as a cold wind, while on “Mourir en paix (nakalatch)” Rebetez’s spoken vocals have the gravel and growl of a man demonically possessed. In typically Chruch fashion, the visuals for “Aux couteaux” are as puzzling as the track itself. Using dream-like imagery, the video’s female protagonists seem to invoke the witches of the Scheulte. Suffused in an inscrutable symbology, we watch as they perform ritualized gestures and actions that seem to flow from somewhere deep in the subconscious. Below, you can watch the video for “Aux couteaux” and stream the track “Mourir en paix (nakalatch).” In addition, pre-orders for Le Corps du Triste are available thru Jelodanti Records’ Bandcamp page. As with all offerings from the label, the album is being issued in a limited edition gatefold version complete with hand-stamped art and Jelodanti’s DIY attention to graphic detail. Not to be missed! ”

    Iggy Pot

    //

    Live Eye Tv

    “... Encore une belle découverte grâce au label Jelodanti. CHRUCH, c’est Augustin Rebetez, Pascal Lopinat, Ida Friis et Pia Achternkamp. Une très belle utilisation des saturations. Le mix est très réussi. ”

    David Fenech

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    David F Presents

    “... Plus près de nous, on pourrait citer l’art du Jurassien Augustin Rebetez, et plus particulièrement sa part musicale, telle qu’on peut la découvrir dans Chruch, le projet qu’il mène avec Pascal Lopinat. Regardez et écoutez ci-après «Aux couteaux», extrait de leur album Le Corps du triste (Jelodanti, 2019). L’anagramme et le calembour indiquent une posture ironique; le son et l’image cultivent des teintes blafardes, comme entraperçues à travers un mur semi-permanent: il y a là du fantôme de fête froide. ”

    Philippe Simon

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    blogs.letemps.ch

  • La Vie Tue-Jean-Louis Costes

    “... La vie tue, qui sort en vinyl chez Jelodanti Records, est un album de 12 titres formidable, dissonant, maladroit, salace et d’une intelligence forcenée. Jean-Louis Costes y affiche, avec l’économie de moyens musicaux et vocaux qui le caractérise, une forme éblouissante et une envie d’en découdre avec son époque intacte et aussi déterminée que dans ses écrits. ”

    Benjamin Berton

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    SUN Burns out

    “... Costes pratique la politique de la terre brûlée. Tout ce qu’on peut écouter après lui est rendu dérisoire et plus léger que l’air. C’est à cela aussi qu’on reconnaît les disques importants. Ils ne font pas forcément plaisir mais remplacent tous les autres. La Vie Tue est un disque majeur, con et brillant, régressif et décisif, un disque politique et à sa manière plus œcuménique et fédérateur que tous les discours de réconciliation nationale. ”

    Benjamin Berton

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    Costes Chroniques

    “... Qui n’a jamais vu Jean Louis Costes sur scène ne peut même pas imaginer ce que ça peut donner (l’équivalent pour adultes du « soulier magique » de Chantal Goya ? Non! ). Il vient de sortir ce mois ci un très beau LP chez Jelodanti. C’est une sélection de chansons, plus mélodiques qu’à l’habitude. Et une reprise de « La Coco » de Frehel. Et comme souvent chez Jelodanti : les pochettes sont toutes uniques, faites à la main avec de beaux tampons argentés. ”

    David Fenech

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    Divid F Presents

  • Rose Calamine-LadyBoy

    “... While LadyBoy’s 2015 self-titled LP out on the indie label Microcultures found the band following a more acoustic-driven, chamber-pop approach, “Rose Calamine” builds on that blueprint by adding electronic elements via keyboard, sequencer, and Thomas Bloch’s Ondes Martenot. The band’s ability to blend these varied paths makes for an album full of mysterious surprises, while Hazemann’s vocal performance smolders with an unforgettable dramatic intimacy. ”

    Iggy Pot

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    LIVE EYE TV

    “... Depuis qu’il a opéré sa mue musicale, Olivier Hazemann se cache derrière l’alter ego Ladyboy. Il nous gratifie aujourd’hui d’un très réussi second album Rose Calamine, tout en clairs-obscurs : des morceaux à la limite du dancefloor et d’autre à celle de l’intimité de chambre. Un univers riche et cohérent enluminé d’ondes Martenot, d’orgue ou de la toujours subtile guitare de Seb Martel. ”

    Renaud Monfourny

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    blogs les Inrocks

    “... Parmi leurs 4 500 disques neufs, Julie et Caroline choisissent de soutenir plus que jamais la scène française et recommandent les nouveaux albums de SuperBravo et Maud Lübeck ainsi que Charlène Darling et Rose Calamine, du chouette label Jelodanti Records. ”

    Eric Bureau

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    Le Parisien

  • The Work-Compilation

    “... While punk rock might have ushered out the more gratuitous and dated aspects of prog and metal, introducing the musical world to a new generation of loud and exciting voices, post-punk would continue to offer more expanded options for reworking what rock music had become. With an eye to the more radical elements of late-60’s and early 70’s art practice, Tim Hodgkinson and The Work preserved that era’s aesthetic questioning, social consciousness, and do-it-yourself spirit, while helping to forward those agendas into a new and contemporary form of expression. Often as complex and compositionally challenging as prog could be, and at times brutal and uncompromising like early metal, The Work’s music offers an intriguing bridge by which to view how styles of the recent past updated their sound into an important new form. ”

    Iggy Pot

    //

    LIVE EYE TV

  • Ovaries-Dagger Moth & Philippe Petit

    “... Ovaries est un voyage en féminité mais aussi un voyage dans ce qui la dissimule et la contraint. On ne va pas se cacher qu’on n’a pas tout compris des paroles. Le morceau sent la tristesse et la dérive nocturne. Le saxophone zornien accompagne la première séquence, propulsant par sa plainte piquée, la beauté et la sensualité du chant dans un abîme tournoyant. La seconde séquence est plus sèche, brutale et industrielle. Elle est martiale mais tout aussi réussie. La voix est chassée du décor pour un accompagnement synthétique qui en relit la trace et en confond la brisure. Il faut attendre la dernière minute du remix pour que la lumière pointe au piano et éclaire un final magnifique. ”

    Benjamin Berton

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    SUN Burns out

    “... Philippe Petit’s rework of the delicate cut features saxophone from Arnaud Fournier, with Petit contributing kazooed-voices, and other extended vocal techniques, as well as electronics and organ. Traveling the outer reaches of composition, the musician has been known to use an odd array of instruments like the Electric Psalterion, Hackbrett Cymbalum, Caterpillar Drum Guitars built by Yuri Landman, turntables, computer, and synthesizer–as well as various percussive objects like stones, pieces of wood and glass. His work is often electro-acoustic in orientation, as it involves electricity/amplification to generate sound and sonic texture. In addition to collaborating with artists like Lydia Lunch, Eugene Robinson, Cosey Fanni Tutti, Stephen O’Malley, Jad Fair and more, Petit is also a journalist, musical activist, as well as the man behind the cult labels Pandemonium Rdz. and BiP_HOp. ”

    Iggy Pot

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    Live Eye Tv

    “... Do you want to listen to and read about all the best French music from the last couple of months? ”

    David McKenna

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    The Quietus

    “... Do you want to listen to and read about all the best French music from the last couple of months? OUI, of course you do. Allez tout droit for Juniore, nOx.3 & Linda Olàh, Zooey and more. Playlist with Dagger Moth & Philippe petit "Ovaries". ”

    David McKenna

    //

    The Quietus

    “...

    B FACE Saison 2 Episode 04 avec Jelodanti Records en découverte.

    Klark D.

    //

    Le Discographe

  • Chapel in the Pines-Eugene S. Robinson & Philippe Petit

    “... "On Augur, the jangling guitar and effects (John 3:16; Petit), howls and layered vocals (Robinson and Percy Howard) make for strange partners. The record comes off like a baptism by fire, but far more cosmic, like seeing explosive floating visions. It’s electronic bluegrass with a Baptist edge that is off the rails. A fleeting pastiche, murmuring to itself at times."... ”

    TJ Norris

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    Tone Shift

    “... All the way through Chapel In The Pines, this juxtaposition takes place, as if the youthful-sounding Percy is some apparition, a vision of Eugene as a young man. Even if the mania of the sonic backdrop lifts — as it does a little on “Further Father” — Eugene’s whisperings give the impression of someone being lost in the woods, living on their wits, trying to stay one step ahead of whatever malevolence is or isn’t lurking in the pines, but is most likely lurking in their psyche. Philippe floods us with sensory overload as the benediction is read over and over. I guess if you say it often enough, it has to work, right? ”

    Mr Olivetti

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    Freq

    “... This release is a lot more abstract then the Crying of Lot 69. The musical backing is far more abrasive. The primary instrument that Philippe uses here is guitar and he doesn’t hold back with his brutal aggressive attack on the instrument as its screeches and howls out dissonances behind Eugene’s words. ”

    DB

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    Progress Report

    “... Ce n’est pas le premier album d’Eugène Robinson (le chanteur d’Oxbow) + Philippe Petit.. mais à l’écoute de ce morceau, il semblerait que ce soit le meilleur ! Ca sort bientôt chez Jelodanti Records. ”

    David Fenech

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    David F Presents

  • Rose Mercie-Rose Mercie

    “... La musique indépendante devrait, par essence, être le lieu d’une liberté artistique émancipatrice. Elle devient, au contraire, de plus en plus un espace où la norme s’impose comme une règle absolue, aussi bêtement intégrée que subie. Des musiciennes comme les Rose Mercie redonnent, avec beaucoup de candeur et d’esprit, un véritable sens à la notion même de création musicale artisanale. Depuis leur début en 2013, elles ont façonné une identité sonore singulière, qui se révèle aujourd’hui dans la très belle sortie confidentielle, et bien sûr en vinyle, de leur premier album.

    Laurent Thore

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    Indie Music

    “... Leur premier album, qui arrive enfin après quelques années de galère, sonne comme quelque chose de très simple et de très étudié à la fois, un mélange de fugacité et d'immédiateté qui dépasse des influences évidentes (pour aller vite, des Raincoats à Electrelane) et qui arrive à nous faire dire qu'il ne faut pas grand-chose, un geste, un accord barré un peu loupé mais gardé tel quel, un chœur un peu à côté ou un poil trop fort, pour amener ce petit plus de spontanéité (et donc de vivant) qui manquent tant aujourd'hui à une partie de la scène française dite « de marge ». ”

    Marc-Aurèle Baly

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    NOISEY music by Vice

    “... So many artists that use the vibrant post-punk scene in the U.K. and U.S. as their foundational inspiration do the expected, folding in contemporary influences and techniques as needed. What thrills me so much about the work of French quartet Rose Mercie is that there’s little to differentiate their work from vintage recordings by the Pop Group, Ut or The Raincoats. They’ve captured the essence of that late ‘70s/early ‘80s time so succinctly that I’m still not totally convinced that it isn’t a lost recording from the era. ”

    Robert Ham

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    Paste Magazine

    “... The women’s intertwining harmonies move these songs with a disarming charm, while off-kilter guitar melodies sketch hand-drawn illustrations against moody organ and minimalist drum play. On “Spring And Fall,” the warm back-and-forth modulations of a one finger bass-line wash up against a snare marking a simple backbeat. Soon, guitar and organ enter and their interplay wobbles in a tipsy embrace–echoed by the song’s idiosyncratic vocal arrangement. With voices tangling in harmony but slightly at odds, “Spring And Fall” traces the comings and goings of a love that is not always what it seems. ”

    Anita Fang

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    LIVE EYE TV

    “... Le premier album de Rose Mercie est un premier jet très homogène et pour le moins satisfaisant que l’on écoutera sans se lasser même si on était en droit d’attendre quelques tubes qui se démarqueraient du lot et qui auraient valu une réputation scénique à la hauteur de leur réputation de très bonnes et intelligentes musiciennes. Donc oui, la scène indie rock parisienne et féminine a aussi son mot à dire. ”

    //

    Les Oreilles Curieuses

  • Goz of Kermeur-Goz of Kermeur

    “... Face à l’embellie supposée du renouveau (industriel) du vinyle, les activistes du label Jelodanti défendent avec une énergie créatrice rare la poursuite de l’utopie (punk ?) Do It Yourself. Culturellement, le travail effectué sur la discographie du groupe suisse mythique Goz of Kermeur raconte autant la justesse d’une intention patrimoniale passionnée et parallèle que celle d’une aventure musicale unique, saisissante et prenante. Retour sur l’un des groupes indépendants les plus singuliers des fameuses années 1990.

    Laurent Thore

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    Indie Music

    “... Goz Of Kermeur ressurgit du passé, non pour une reformation mais pour une compilation en forme d'hommage. Parce que ce groupe était inestimable, unique et il avait grandement besoin d'être dépoussiéré, pour que les plus vieux se remémorent et les plus jeunes et les incultes découvrent un groupe qui n'a pas pris une ride. Leur musique pourrait être d'aujourd'hui, que du feu on verrait. Et pourtant, elle ne l'est pas. ”

    Xavier Sonik

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    Perte & Fracas

    “... Great Hits… ce double album serait donc un best of de Goz Kermeur ? Vraiment ? La tâche semble impossible à réaliser tant les trois albums de Goz Of Kermeur – un premier disque sans titre (1992), Hirondelles (1993) et Mythomane (1996) – sont tous indispensables et incontournables. ”

    Hazam

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    Instant Bullshit

    “... In a way Goz of Kermeur are the greatest band you’ve never heard.  This well deserved vinyl pressing of Swiss’ own Goz of Kermeur is a modest 3oo copy pressing for such a special band.  Released on the French Jelodantilabel, the  recordings are from the band’s 3 studio recordings as well as the single with Ted Milton (Blurt) ‘Inflated Edge’. ”

    Dj Strangeblood

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    Strangeblood Blog

    “... Next, Jelodanti will turn its’ attention to the legendary Swiss band Goz Of Kermeur with the release of their 2xLP Greatest Hits : GOZ OF KERMEUR on October 25th. Vinyl copies will be issued in a run of 300, and will include the label’s typically outstanding cover art making these hand-numbered editions truly unique. ”

    Iggy Pot

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    Live Eye Tv

  • Parade Dust Mischief-Attic Ted

    “... Depuis la riante cité d’Austin au Texas, Attic Ted, fabrique des masques, joue du banjo et du synthétiseur. Il incarne tour à tour des personnages aux pathologies mentales réjouissantes et variées … et ce, dans un effort désespéré pour remuer vos postérieurs d’européens qui vivent toute l’année sans voir un cheval. ”

    TINA HYPE

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    Enfin seule

  • Ulan Bator-Ulan Bator

    “... Quelle chance de pouvoir chroniquer un tel objet sonore et musical, plus de 20 ans après sa sortie ! Le temps n’a semble-t-il en aucune façon altéré la force de ce premier disque qui, encore aujourd’hui, affiche une matière artistique sidérante et totalement incendiaire. En février 1995, c’est bel et bien un trio qui pénétrait « La Guillotine » à Paris pour enregistrer ce brûlot incandescent, que le label indépendant Jelodanti a eu la merveilleuse idée de rééditer ces jours-ci, dans une précieuse version vinyle limitée.

    Laurent Thore

    //

    Indie Music

    “... Si Ulan Bator ne fait pas exactement partie de la même frange que Sister (sa musique a radicalement changé au fil des années), son cas est à considérer d'au moins aussi près, dans le sens où le groupe parisien pratiquait lui aussi une forme de rock dur, jusqu'au-boutiste et belliciste qui n'avait pas grand chose à voir avec les atermoiements hexagonaux de type poète maudit, troubadours des caves ou chansonniers en goguette qui pullulaient alors. On appelait ça du post-rock, le terme englobant alors plus ou moins toutes les formes de musique à guitare un peu hardie et expérimentale - vous voyez que c'était un autre espace-temps. ”

    Marc Aurele Baly

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    Le Drone

    “... 21 ans après sa sortie en CD sur le label de Gérard N’Guyen (Les Disques Du Soleil & De l’Acier), le chef d’oeuvre éponyme des Parisiens d’ULAN BATOR est enfin disponible en vinyle. On doit cet événement à la toute jeune maison Jelodanti, microlabel fondé par Clara Djian et Nicolas Leto, dont la passion pour le DIY transpire du gatefold sérigraphié et de la remise en images de ce magnifique album. ”

    Florian Schall

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    RECORDS ARE BETTER THAN PEOPLE

    “... Combining open-ended post-rock compositional structures with a caustic palette of industrial tones and driving rhythms, the band’s debut bristles with raw intensity and uncontainable angst. Witness the imposingly titled “Cheetah Carnage” below. Starting from an anguished, animal-like sonic howl, the trio quickly descends into a maelstrom of dense low-end and jagged guitar with lo-fi but strident vocals buried in the noisy mix. ”

    Iggy Pot

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    LIVE EYE TV

    “... Jelodanti Records recently issued a special version of your debut from 1995. What was the concept behind your debut? Making a lot of noise, that was the original idea. Scaring with our own sound.Half of the tracks are from the end of our previous band: Miss Marvel. It’s the noisier part of this record, but there’s also a more atmospheric aspect with the track that ends the album: ‘Cerf-Volant’… Influenced by Can and their studio ‘Inner Space’, we had decided to create our own studio in a chalk-mine outside Paris, located several meters underground.   ”

    Klemen Breznikar

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    It's Psychedelic Baby Magazine

  • Rage de raison-Petra Pied de Biche

    “... En cette période de racisme ambiant (on en a marre !)… écoutons cette chanson de Petra Pied de Biche. Extrait de l’album « Rage de Raison » (2018). Les couplets de la chanson Jeu de Blanc sont composés UNIQUEMENT de phrases entendues par l’auteur de la part de personnes blanches (toujours bien intentionnées, n’est ce pas ?). ”

    David Fenech

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    David F Presents

  • Helvete Underground - Compilation-Helvete Underground

    “... Featuring bands like Abt 409, The Xerxes von Munshrein, Fist of Facts, Indian Feast and Copvlation, Helvete Underground’s condensed history points to a time in the ’80s when music and art conspired in the attempt to change culture. Though their tenures might have been as brief as the label’s, the bands on Jelodanti’s 2xLP offering bristle with punk’s anarchic energy while using the new and emerging electronic technologies of the day to help forge a next wave of musical history. ”

    Iggy Pot

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    LIVE EYE TV

    “... Helvete Underground was a Swiss post rock label from Geneva, founded in 1984 by Alain Jeanmairet. Now name is known as a Swiss Black Metal Festival however in '80 label issued 7 groups. Jelodanti set tribute compilation of 5 of them: ABT 409, Xerxes Von Munshrein, Fist of Facts, Indian Feast and COPVLATION. "Helvet Underground Records" was released as double LP in a same fashion as Ulan Bator. Hand cut, and glued. Covers of participants were glued on a cover sleeve, names were stamped. So did labels of records themselves. Also numbered by a hand and limited to 300 copies. ”

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    Records Book

  • "Nos paupières racornies, nos cheveux​.​"-Enfance Sauvage

    “... Ça faisait plus de vingt ans que je n’avais pas écouté un album le jour de sa sortie (PJ Harvey ? Noir Désir ?…) et quand Marianka, « basse saturée » selon les crédits de pochette, a envoyé un mail pour signaler la sortie de Nos paupières racornies, nos cheveux, je me suis précipité sur bandcamp et je l’ai écouté une, deux, trois fois d’affilée. Et depuis, il est plusieurs moments dans la journée où je chante Train fantôme : « c’est là que j’aime être, c’est là que j’veux être ». ”

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    Devier les trajectoires

  • Inlands-A Shape

    “... "Inlands, c'est être entre chien et loup, entre la gâchette et l'étincelle, c'est le moment où tout est possible, un intérieur inconnu de soi-même, une zone d'ombre personnelle qu'il vaudrait mieux ne pas découvrir. L'électricité générée par A Shape est aussi tranchante que nébuleuse, vous conduit en des territoires connus avant de vous laisser seul vous débrouiller dans des mondes parallèles, s'insinue en vous, vous remue, fait des ravages, des crevasses et libère une énergie dévorante en laissant une trace bleue. A Shape est planqué derrière la nuit comme un criminel." ”

    Xavier Sonik

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    Perte & Fracas

    “... "Das Repertoire des Quartetts reicht von gelungenen Post-Rock-Versuchen wie dem Opener bis zu Haken schlagenden Kompositionen, die bisweilen eine vielleicht ungebührlich komplizierte, arg mathematische Rhythmik aufweisen. In jedem Fall steigern solche Arrangements aber die Spannung, die man beim Lauschen verspürt." ”

    Andreas Schiffmann

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    musikreviews.de